« Le Parlement européen a approuvé la directive « Women on Boards » qui exige qu’au moins 40% des postes d’administrateurs non exécutifs des entreprises cotées de l’Union européenne soient occupées par des femmes. Les femmes devront également occuper au moins 33% de tous les postes d’administrateurs des grandes entreprises de l’UE.En 2021,
» Les Etats membres et le Parlement européen se sont entendus sur une nouvelle législation visant à augmenter la proportion de femmes dans les conseils d’administration des entreprises européennes cotées. Les quotas fixés devront être respectés d’ici 2026. Les Etats membres qui n’atteignent pas ces objectifs devront mettre en place
« Les grandes entreprises européennes devront, avant mi-2026, compter 33% de femmes au conseil d’administration, ou compter 40% de femmes parmi les membres non-exécutifs du conseil. Viviane Reding, vice-présidente de la Commission européenne, à l’initiative du dispositif « Women on Boards »; Elle se souvient: « C’était l’horreur. Les gouvernements écoutaient leurs entreprises, et étaient contre ce projet. »
Merci a Brigitte Longuet pour son investissement de trois années au sein du Haut Comité de Gouvernement d’Entreprise (HCGE)Lire l’article Françoise Savez termine son mandat de présidente de l’Association des femmes expert-comptables. Lire l’article
Le Figaro – lundi 7 juin 2021
Exposition prolongée jusqu’au 25 juillet 2021
Article : Les femmes dans l’entreprise : État des lieux en France et en Europe (essec.edu) par Viviane de Beaufort, professeure titulaire en droit européen à l’ESSEC et experte en public policiers et lobbying, porte-parole reconnue sur le Women Empowerment.
« La parité, priorité oubliée de la réforme de la haute fonction publique » (lemonde.fr) Article publié le 8 juin 2021. Par Agnès Arcier, Haute fonctionnaire, présidente de la Fédération Femmes Administrateurs (regroupement public-privé de réseaux professionnels féminins, promouvant le lien entre mixité et bonne gouvernance).
52,5 % des CEOs du CAC 40 ont renoncé à une partie de leur rémunération pour l’exercice 2020 et ce jusqu’au maximum de 65% du montant annuel total. Source : Ethics & Boards