Cet « index » est une une note globale sur 100 décomposée en cinq critères :
– l’écart de rémunération femmes-hommes (noté sur 40 points),
– l’écart dans les augmentations annuelles (20 points),
– l’écart dans les promotions (15 points),
– les augmentations au retour de congé maternité (15 points),
– la présence de femmes parmi les plus gros salaires de l’entreprise (10 points).
Cet index est accompagné de pénalités financières en cas de non-respect de certaines normes.
Depuis le début du mois de mars, sur les 1400 entreprises de plus de 1000 salariés, seule une moitié a publié sa «note globale» en matière de lutte contre les inégalités de sexe, alors que la date limite était officiellement fixée à vendredi.
Quelques entreprises ont communiqué leurs résultats comme LVMH, dont la note globale est de 90/100, le constructeur ferroviaire Alstom (95/100), ou encore La Poste dont la note est de 94/100. Le sidérurgiste Arcelor-Mittal a publié la note pour trois de ses entités: 89/100 pour Atlantique et Lorraine, 83/100 pour Méditerranée et 73/100 pour la filiale ArcelorMittal Industeel.